Un examen complet et un rayonnement faible

Lors de la pose d’un implant, il est obligatoire de savoir qu’il n’y a aucun foyer infectieux dans la bouche du patient si le praticien veut mettre toutes ces les chances de son côté pour que l’intégration de l’implant se fasse dans les meilleures conditions. Cela nécessite des images en trois dimensions pour un diagnostic radiologique fiable et complet. Ce système de radiographie 3D combine un volume de diagnostic innovant, couvrant la quasi-totalité des diagnostics 3D, avec un rayonnement particulièrement faible. Le champ de vue à la forme de la mâchoire propose, avec une exposition aux rayons inférieure à celle d’un appareil de Ø 80 x 80 mm, un volume de diagnostic équivalent à celui d’un appareil de Ø 130 x 85 mm, c’est-à-dire jusqu’aux molaires les plus reculées. Cela peut s’avérer particulièrement utile, par exemple, pour le diagnostic de dents de sagesse incluses.

Capteur csl haute résolution

Grâce à la technologie S-Pan et au capteur Csl haute résolution avec une taille de pixels de 49,5 μm, le praticien bénéficie de panoramiques dentaires d’une grande netteté et de qualité aussi bien en 2D qu’en 3D. La technologie S-Pan correspond à 20 coupes morcelées chacune en 1 000 fragments. Un algorithme complexe permet de récupérer le meilleur fragment de chaque coupe afin de réaliser un cliché final d’une excellente qualité. L’appareil est doté d’un champ anatomique équivalent à un volume de 130 x 85 mm et ce champ est réduit à 130 x 70 mm pour les enfants, ce qui permet d’éviter un rayonnement inutile au niveau des yeux. La forme du champ n’est pas un cylindre, mais une forme obtenue grâce au déplacement de la tête du panoramique qui effectue une rotation de 540°, permettant de réaliser des clichés avec très peu d’artéfacts métalliques, sans préfiltre avant d’être affichés. Ce volume d’acquisition est spécifiquement conçu pour l’anatomie humaine – avec exclusion des vertèbres. Avec un seul cliché, on obtient la totalité de la mâchoire. Avec les 17 programmes panoramiques complémentaires de la technologie éprouvée S-Pan, les cabinets dentaires sont équipés d’excellents outils d’imagerie diagnostique, qu’il s’agisse de 2D ou de 3D.

La représentation du volume standard Ø 80 x 80 mm (en rouge sur l’image ci-contre) a été ajoutée à titre comparatif à la représentation en vue axiale du champ de vue du VistaVox S (en bleu) . Le volume adapté à la forme de la mâchoire propose un volume de diagnostic équivalent à celui d’un appareil de Ø 130 mm. En vertu de la forme spécifique de la zone de diagnostic, seules les zones pertinentes pour le diagnostic sont irradiées. Une étude menée par le Dr Johannes Krause sur 1 020 patients a montré qu’un volume de 85 mm de hauteur et 110 mm de diamètre est nécessaire pour couvrir à 100 % la zone dentaire de l’être humain. Selon cette étude, un volume de Ø 80 x 80 mm permet de fournir un diagnostic intégral pour seulement 1,4 % des patients. Le volume du VistaVox S, adapté à la forme de la mâchoire, recouvre au contraire la zone dentaire de tous les patients.* En plus d’une image de la forme de la mâchoire, VistaVox S offre dix volumes supplémentaires de Ø 50 x 50 mm : cinq pour le maxillaire et cinq pour la mandibule. Pas besoin de préshoot pour vérifier la zone.

VistaVox S se caractérise par son volume d’acquisition 3D idéal, qui reproduit l’anatomie humaine. Le capteur ultrasensible CsI contribue à la réduction de l’exposition aux rayons, garantie par une géométrie fine du capteur et une cinématique ingénieuse. L’utilisation est conviviale : l’opérateur est en face du patient lors de son positionnement avec un seul faisceau lumineux pour les clichés en 3D et trois pour les clichés en 2D. En outre, l’écran tactile 7’’ permet à l’équipe du cabinet une utilisation intuitive et fournit désormais, avec le logiciel de traitement des images VistaSoft simple d’utilisation, un support professionnel pour l’imagerie 3D.

Le témoignage du docteur
Jean-François Matern (67)
IL EST PRATIQUE D’USAGE
J’utilise cet appareil depuis une année. Je l’emploie essentiellement pour de l’imagerie 2D. Il est pratique d’usage, aussi bien en panoramique que pour le module cone beam 3D. La qualité d’image est tout à fait satisfaisante. Si cela était possible, je changerais le post-traitement. Un autre avantage est le champ réduit pour les enfants : plus le champ est réduit en taille, moins la « dose patient » est importante. C’est également un principe général à toute machine RX. Enfin, la forme du champ permet de réaliser des clichés avec peu d’artéfacts métalliques, ce qui est un principe général du cone beam CT.

Le témoignage du docteur
Ylann Rouah (75)
UNE EXPORTATION FACILE POUR LES CONFRÈRES
J’utilise cet appareil depuis le mois de mars 2018. Je l’ai acheté pour la continuité du système. J’étais en effet particulièrement satisfait, avec DBSWin et VistaSoft, de l’utilisation du Vistascan et de la caméra intrabuccale. Je l’utilise quotidiennement pour la recherche de foyers infectieux et de fêlures, pour les chirurgies pré-implantaires, les chirurgies multiples et l’implantologie. Il offre un bon soft, de belles images et permet une exportation facile pour les confrères et les patients. Il procure le scan en cinématique pour les diagnostics occlusaux (détermination de pentes condyliennes par informatique). Par contre, je souhaiterais qu’il soit moins encombrant.

Le témoignage du docteur
Alexandra Trouchaud (83)
JE L’AI ACHETÉ CAR JE POSAIS DE PLUS EN PLUS D’IMPLANTS
Je l’ai acheté, lorsque j’ai agrandi et déménagé mon cabinet pour remplacer mon ancien appareil panoramique, car je posais de plus en plus d’implants. Cela me permet de faire les cone beams directement au cabinet et de ne pas perdre de temps à attendre que le patient aille dans un cabinet de radiologie. Je dois dire que je ne maîtrise pas encore bien la machine mais je n’ai tout de même pas eu trop de difficultés pour l’utiliser, que ce soit pour faire des panoramiques dentaires ou des cone beams. Le seul souci que nous avons rencontré, et qui n’était pas prévu dans mon budget, est qu’il fallait changer aussi les ordinateurs du cabinet (nous en avions déjà trois) pour la 3D car ils n’étaient pas compatibles.

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