Le principe sera celui d’une liberté d’exercice laissée à l’appréciation de chaque praticien. Chacun d’entre eux devra « mesurer ses risques individuels en fonction de son état de santé » en déterminant « en toute indépendance » les actes nécessaires à réaliser en respectant les recommandations de bonnes pratiques.

Le dispositif actuel relatif à la permanence des soins bucco-dentaires les dimanches et jours fériés est maintenu. Les conseils départementaux de l’Ordre « assureront la continuité de leurs missions de service public, en adaptant les procédures de travail en fonction des particularités et des besoins locaux ».

À noter : le dispositif de distribution contingentée par les pharmacies d’officine des équipements de protection individuels (masques FFP2, etc.) pour les professionnels de santé a été réactivé très récemment.